Voilà ma présentation, qui j'espère, aidera à vous distraire tout en faisant connaissance.
Une page devrait généralement avoir un seul élément de type h1 qui décrit le contenu de la page en fait semblable à l'élément "Title" mais heureusement nous avons les tags sous-titres h2 à h6.
La structuration ça commence par Titre 2 puis sous-Titre 3 puis...sous-sous(...)-Titre 6
Pourquoi il n'existe que h6 comme tag pour structurer? C'est une très très grave question qui sera mon fil d'Ariane en ce Labyrinthe.
"Labyrinthe" est mon préambule. Le 3 février 1623, Galilée reçoit l'autorisation de publier son Saggiatore qu'il dédie au nouveau Pape. L'ouvrage paraît le 20 octobre 1623, il y a 400 ans exactement jour pour jour. En 1618, on a observé le passage de trois comètes, phénomène qui relance la polémique sur l'incorruptibilité des cieux. Dans ce livre Galilée considère avec erreur que les comètes seraient comme des rayons lumineux et non comme de vrais objets, erreur démontrant la nécessaire modestie des savants pour toutes les générations. Mais le meilleur ouvrage de Galilée reste celui de 1638 dont la lecture me ravit encore: Discorsi e Dimonstrazioni matematiche intorno a due scienze attenanti alla mecanica ed i movimenti locali
Il me fallait un préambule qui a participé à donner ma vie à la science et à devenir "chercheur CNRS":
« La philosophie est écrite dans cet immense livre qui se tient toujours ouvert devant nos yeux, je veux dire l'Univers, mais on ne peut le comprendre si l'on ne s'applique d'abord à en comprendre la langue et à connaître les caractères avec lesquels il est écrit. Il est écrit dans la langue mathématique et ses caractères sont des triangles, des cercles et autres figures géométriques, sans le moyen desquels il est humainement impossible d'en comprendre un mot. Sans eux, c'est une errance vaine dans un labyrinthe obscur"
Remarque: cette présente page est très simple car je ne suis pas encore passé ni en HTML 5.0, ni en 5.1 ni en 5.2 ni HTML5.3. Suis-je encore en SGML de 1969 ;)
Le principal intérêt de tout ces "HTML" reste la structuration en quatre:
C'est le tag img de 1993 qui a produit l'explosion, ce qui démontre, pour notre époque, la democrature de l'image.
Maintenant faisons connaissance.
Pourquoi il n'existe que 6 niveaux de sous-sous(...)-titres?
Car c'est le premier nombre biPremier ;-)
Un nombre biPremiers (ou demi-premier ou 2-presque premier) est le produit de deux nombres premiers non nécessairement distincts. Adrien-Marie Legendre (et Johann Carl Friedrich Gauss) ont conjecturé une répartition "harmonieuse" des nombres premiers
(à savoir que le n-ième nombre premier est "approximativement" égal à n log n), alors que leur apparition semblait "aléatoire",
ainsi les théoriciens des nombres s’intéressèrent à leur étude.
J'aime beaucoup Adrien-Marie Legendre (né le 18 septembre 1752, mort le 9 janvier 1833).
Un de mes articles est aussi un hommage à ses travaux notamment les si beaux polynomes de Legendre. Ils forment la plus simple suite de polynômes orthogonaux.
Ils sont liés à l'extrême charme de la Sphère. https://zenodo.org/record/439037
(il fallait bien mettre un lien sur mes travaux sans baliser ou ici en balisant).
Car c'est le premier nombre rectangle 2x3 ;-)
Les nombres comme les Premiers ne sont que du 1D si tristement monodimentionnels alors que les nombres biPremiers forment des rectangles (si on enlève les biPremiers semblables, qui sont des carrés).
Les nombres biPremiers sont devenus les esclaves de la cryptologie (en tant que clé publique pour le système RSA), parce qu'il est soi-disant difficile de factoriser un grand nombre biPremier.
En 1974, le message d'Arecibo a été envoyé sous la forme d'un signal radio vers des étoiles
https://fr.wikipedia.org/wiki/Message_d%27Arecibo
Je suis arrivé à caser la 4ième partie du pluriel des mathématiques qu'est l'Astronomie, science des temporalités des perpétuités et aussi de l'Eternité ;-)
Il se composait de 1679 bits destinés à être "interprétés" comme une image binaire de 23 pixels sur 73 ou 73x23.
Le nombre 1679, égal à 23 fois 73, a été choisi car il est biPremier et peut donc être arrangé en une image rectangulaire.
Je suis arrivé à caser une autre partie du pluriel des mathématiques qu'est la géométrie, ici les images qui ne sont que des trans-formations géométriques très déformées d'un monde compressé en trois dimensions (souvent non euclidien car anisotrope avec la pesanteur) + une dimension temporelle fortement anistrope en oubliant d'autres dimensions elles-aussi de narration poétique et imaginaire ;)
Car sous-sous...Titre "6" c'est aussi un "cube" ;-))
Nous pouvons aussi voir une image comme un lancé spécial et spacial de dés (avec moults interactions des voisins). Ici nous aurions 1679 dés à deux faces (que l'on nomme pièce de monnaie) car c'est une image binaire.
Je suis arrivé à caser une autre partie du pluriel des mathématiques qu'est l'arithmétique avec notamment les probabilités, qui finalement ne sont que des transformations d'entiers vers des rationnels, puis avec les statistiques, vers les réels.
C'est aussi le centre des recherches du laboratoire CREATIS où je suis que sont les images médicales à soigner par les probabilités et les Systèmes d'Artificielle Intelligence Nue-probabiliste SAIN ;)
https://www.creatis.insa-lyon.fr/~mottin
Le "6" n'est pas seulement intéressant mais c'est aussi le célèbre dés à 6 faces. Sa beauté incarne le cube avec ce nombre de face d'un dés cubique.
C'est aussi un nombre "hautementComposé" qui regroupe les entiers strictement positifs qui ont strictement plus de diviseurs que n'en possèdent les nombres qui le précèdent.
Encore une autre classe d'entier! Platon aurait établi à 5040 le nombre idéal de citoyens dans une cité,
avec sa propriété d'avoir de nombreux diviseurs permettant de les séparer en de nombreux sous-groupes de même taille.
Mais 5040 est aussi "7!" ou en langage algorithmique détaillé "2x3x4x5x6x7".
C'est aussi pour cela que l'on apprécie beaucoup les "hautementComposés" comme le "60" et le "360".
On peut aussi écrire le "6" en langage algo "2x3" ou "3x2" mais c'est plus court en "3!" pour éviter les deux possibilités des écritures algo.
Las et là il me manque le sous-sous-----Titre "7" ;-(
La plus belle représentation avec la géométrique de la pensée du "6" en 2D reste le polygone à six côtés: l'hexagone.
Quelle beauté qu'offre la Nature avec les cristaux hexagonaux de neige si chers à Kepler.
En 1611, Kepler publie un petit traité qui est une des premières approches scientifiques de l'étude des cristaux de neige.
Puis Descartes est le premier, en 1635, à décrire avec précision plusieurs formes de cristaux de neige et tout cela à l'oeil nu! En 1665, l'invention récente du microscope permet à Hooke de réaliser des observations encore plus précises. Il publie dans Micrographia de nombreux dessins qui révèlent les structures des cristaux de neige.
Le secret du vivant réside dans l'eau, cette molécule sociale si exceptionnelle.
Je suis arrivé à effleurer une autre partie de mon travail en microscopie et biophotonique;)
La représentation en rectangle du paysage de la pensée "6" est vraiment trop laide
car le nombre diagonal de la longueur de l'hypoténuse du triangle rectangle est √13
alors que le triangle rectangle "3,4" avec son hypoténuse "5" est si extraordinaire et encore utilisé par tous les maçons, les carreleurs, et les mathématiciens constructeurs.
Je suis arrivé à caser une autre partie de ma pensée en rendant hommage à mon père qui m'a appris l'art du carrelage dès ma onzième année pendant toutes mes vacances de collégien..
Dans certains systèmes de numération additifs (à base ou sous-base quinaire), le nombre six s'écrit à l'aide des chiffres de valeurs 5 et 1 dont les valeurs s'ajoutent.
Ainsi, dans la numération romaine par exemple, il s'écrit sous forme algorithmique "VI" "5+1",
voir aussi sa belle forme dans la numération maya qui est une numération de base vingt (https://fr.wikipedia.org/wiki/Num%C3%A9ration_maya).
Continuons l'éloge du "6" souvent mal-aimé bien que j'achète toujours ma boite de 6 oeufs.
Il est si détesté car c'est une main avec en plus un doigt. Il gêne.
Le nombre "6" à la pensée latine "VI" désigne aussi le degré de la gamme appelé sus-dominante, de l'accord, ou de la fonction diatonique lorsqu'il est distingué, VI = majeure et vi = mineure.
Hélas je n'aime pas du tout la représentation sonore des nombres. Ma mémoire photographique me fait penser et divaguer puis imaginer, créer, rendre visible l'invisible et le prévisible. Mais les sons, les cris, la musique surtout les chants des oiseaux chanteurs m'empêchent de penser.
J'entends, j'écoute, et en un instant mon cerveau et tout mon corps sont comme absorbés, annihilés.
Vais-je arriver à caser une autre partie de mon travail en éthologie et en bio-acoustique de l'oiseau chanteur ?
En musique, une gamme est un ensemble de sons, appelés degrés, formant le cadre dans lequel se bâtit une oeuvre musicale.
L'intervalle entre deux notes est l'écart entre leurs hauteurs respectives. Cet intervalle est harmonique si les deux notes sont simultanées, mélodique si les deux notes sont émises successivement1.
En acoustique/bioacoustique, l'intervalle entre deux sons harmoniques est le rapport de leurs fréquences.
Un intervalle est "pur" ou "naturel" lorsque le rapport des fréquences de ses deux notes est égal à une fraction de nombres entiers simples.
En acousto, la pureté se manifeste par l'absence de l'effet battement. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Intervalle_(musique) )
Avec raison, nous plongeons alors dans les nombres rationnels pour mieux s'y noyer.
Une sixte, est l'intervalle qui sépare deux notes distantes de six degrés. Son renversement est la tierce (c'est son complément par rapport à l'octave).
La sixte est soit mineure (4 tons), soit majeure (4 tons 1/2).
Par exemple, la note "la" est la sus-dominante de la gamme de do majeur, et la note "la bémol" , la sus-dominante de la gamme de do mineur.
Je vous avais prévenu c'est horrible.
Les mathématiques restent au pluriel: arithmétique, géométrie, astronomie et.... musique (la science des quantités associées aux ondes).
Il me faut terminer par juste nommer mes études sur le rêve , plus exactement le sommeil paradoxal chez les animaux et les liens avec le tachymétabolisme
En fait les rêves seraient-il les sources, y compris chez les animaux qui prennent soins de leur petits
- de tous nos savoirs (nos sciences fondamentales),
-
nos savoir-faire (nos sciences d'ingénieur nommées par exemple "génie électrique...")
-
nos savoir-être (les Humanités, les sciences dites humaines, les autres seraient alors "inhumaines"?)
Seuls les mammifères et les oiseaux rêvent et pas les autres. Le sommeil paradoxal est la dernière fonction vitale dont on ignore la fonction! Mais je suis sûr que cette fonction est liée au tachymétabolisme et dont j'espère écrire une théorie qui ne sera pas aussi fausse que la théorie sur les comètes de Galilée ;)
Je rends ici hommage au Professeur Michel Jouvet qui a créé le terme "sommeil paradoxal" en 1958 et qui fut mon président de Thèse et qui me conseilla lors des bifurcations de mes recherches.
Je suis aussi un éditeur et directeur de collection
Vous pouvez aller voir ma collection composée de 28 ouvrages, soit 9314 pages en cette année 2023
https://hal.science/INTEGRATIONS/
https://www.amazon.fr/St%25C3%25A9phane-Mottin/e/B004MUFLVC
Marre des balises...
Remarque: l'entier impair 2023 admet seulement 6 diviseurs qui sont 1,7,17,119,289,2023.
Si on veut absoluement trouver ce que l'on désire alors nous trouvons très souvent, ici, le "6". En fait nous trouvons souvent ce que l'on veut bien chercher.
Un peu d'anglais: I'm hosted by GitHub Pages
Hélas GitHub appartient à Gates. Mais je remercie les codeurs <3
Fin et commencement d'une autre vie
Vous l'avez compris: certains me taxent de "polymathe" ;-)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Polymathie
Si vous voulez une liste de mes amusements nommés "travaux/cv" allez sur
https://github.com/stef42530
Encore Marre des balises...
Merci d'avoir été vivant jusqu'à la fin.
La fin de la Faim: le joli symbole qui ressemble au "6": ©
Tout ce qui est sur cette page est sous ©Stephane Mottin, un chercheur CNRS.